Le livre : Le mouroir aux alouettes, de Virginie Lauby, éditions Ex Aequo, 446 pages, 18 €.
Présentation :
Quand Paulo, septuagénaire, seul et sans enfant, doit se résoudre à prendre pension « Aux Alouettes », il sait qu’il n’en sortira que les pieds devant. Après une période d’adaptation, il se noue d’amitié avec quelques pensionnaires, Frédéric, retraité des chemins de fer, Hortensia ancien patron de cabaret travesti et Julien, ex-commerçant.
Mais l’arrivée d’une nouvelle directrice, Louisa Visconti, bouleverse la vie des pensionnaires. Rapidement la situation se dégrade, et les « Alouettes » deviennent un enfer.
Chaque soir, les pensionnaires sont drogués et les portes des chambres sont fermées à clef par une ombre qui hante les couloirs. Que se passe-t-il réellement aux Alouettes ? Paulo va mener son enquête…
[Cette critique a été rédigée par Aurora, du blog auroraetlapassiondeslivres que nous vous invitons à découvrir;]
> Premier livre que je lis de Virginie Lauby (second roman de l’auteur) et autant dire que j’ai beaucoup aimé. Merci à l’auteur mais aussi au site Les agents littéraires pour m’avoir permis de découvrir ce polar.
L’histoire du livre se déroule dans une maison de retraite appelée Les Alouettes, où l’on fait la connaissance de Paulo, un des nouveaux pensionnaires. Celui-ci a beaucoup de mal à se faire à sa nouvelle vie. Petit à petit, il s’y habitue et se fait des amis. Tout se passe bien, jusqu’à l’arrivée de la nouvelle directrice où la tout va changer et devenir un cauchemar.
J’ai aimé lire ce livre. L’histoire a été simple de bout en bout et le suspense a été grandissant. J’ai tout imaginé dans ce roman, sauf bien sûr le fin mot de l’aventure qui m’a scotchée sur place.
Je me suis attachée à beaucoup de personnages mais mon préféré a été bien sûr Paulo. J’avais toujours peur qui lui arrive un malheur. J’ai adoré aussi Hortensia, le travesti qui, dans ce livre, est passé malheureusement de la joie de vivre à la tristesse. Et aussi le personnage de Marie qui s’est prise d’affection pour Paulo et que Paulo considère comme sa fille.
Même si la découverte de la vérité sur cette histoire m’a étonnée, j‘aurais voulu rester encore pendant plusieurs longues pages avec tous ces personnages auquel j’étais très attachée. Ce polar a été très court et on n’y reste pas sur notre, faim mais continuer l’aventure avec Paulo et ses amis m’aurait beaucoup plu. Paulo et ses amis resteront longtemps dans ma mémoire.
Je suis curieuse et j’aimerais bien découvrir le premier roman de l’auteur intitulé Nannig. Mais en tout cas, ce qui est sûr, c‘est que je vais surveiller l’actualité de Virginie Lauby.